MARCHICA Alfonso
Peinture
Né(e) en :1956
Nationalité :France
Le Poulvignac Nord
47340 Saint Antoine de Ficalba
Tél. 05 53 70 45 40
GSM : 06 04 47 90 60
catherine.marchica@hotmail.com
Sans Titre - 2011 - Acrylique et huile sur toile marouflée sur bois 150x150 (©photo Jacques Pasut)
Les éblouissements du cantonnier
Alfonso Marchica n'a jamais appris la peinture. Rien d'ailleurs ne l'y préparait elle lui est tombée dessus, si l'on peut dire, sans qu'il n'y prenne garde. Un peu comme ce fut le cas pour Augustin Lesage qui entendit une voix lui dire: "Tu seras peintre."
Marchica est né à Porto Empédocle en Sicile en 1956, il arrive en France deux ans plus tard. Après sa période scolaire il est d'abord cuisinier, puis à partir de 1989, à la suite de problèmes de santé il effectue occasionnellement plusieurs emplois.
Actuellement il travaille comme cantonnier des chemins pédestres et forestiers à la demande du Conseil Général du Lot et Garonne pour entretenir les "Chemins Verts" du département où il réside. Evidemment cet itinéraire n'explique pas comment il est venu à la peinture. Certes il y a 18 ans il réalisait de petits paysages d'après nature, et puis, il y a 10 ans ce fut le grand saut, l'éblouissement perçu comme une sorte de thérapie, d'exutoire. Cette jubilation picturale coïncida avec la découverte de la foi; la spiritualité l'a-t-elle conduit à cette métamorphose? Grâce à la spiritualité Alfonso se fait créateur au sens le plus noble du terme et cette passion le dévore.
Mais je préfère lui céder la parole, car dans une récente lettre qu'il m'a adressée, il s'en explique remarquablement bien:
"Pourquoi je peins? A 18 ans je me dis que j'ai la chance de découvrir la peinture, car rien n'était fait dans ma vie pour que ça arrive.
Je me suis tout simplement rendu compte que lorsque j'avais fini une peinture cela me faisait du bien, et petit à petit la peinture a pris sa place dans ma vie. Et cette souffrance que j'éprouvais depuis l'enfance a commencé à s'apaiser, le vide que je ressentais dans ma vie a été comblé. Et puis il y a eu surtout la rencontre avec la foi.
La peinture n'est pas pour moi une finalité, mais un moyen qui me donne accès à ma vie intérieure. D'ailleurs je ne me sens que l'outil de quelque chose qui me dépasse. Et lorsque la toile se fait, il y a un dialogue qui s'installe entre elle et moi, et c'est elle qui me dirige.
L'espace pictural que je recherché est dirigé par une lumière qui flotte au dessus de la toile, et cette lumière peut s'intensifier ou disparaître complètement. Mais lorsque j'écoute la toile attentivement, elle me dit ce que je dois faire, et tant que je vois cette lumière je continue à peindre;" Comme on le voit sa démarche est proche de celle du mineur Lesage qui suivait ses "guides". Mais venons-en à ces oeuvres picturales qui telles un sismographe témoignent d'une transcription, que l'on pourrait sans doute qualifier d'expressionnisme abstrait, traduisant les états d'âme de l'artiste.
La contemplation souvent laisse transparaître la rage de peindre et Marchica triture la pâte, pose les couleurs sans repentir semble-t-il en une jubilante bataille de couleurs ponctuées de signes. Je ne crois pas que l'artiste se pose de questions quant à l'organisation de la toile ou la construction du tableau.... Comme il le dit si bien il écoute la respiration du tableau et il en est heureux Bienheureux ceux qui savent vivre et s'enrichir de leurs oeuvres en dépit des tourments clandestins qui habitent tout créateur.
Paul DUCHEIN, Décembre 2006
Horizons, soleils et noirs
Ce travail, explique Marchica Alfonso, vise à restituer la forme de l'informe, la forme de notre vie qui n'a pas de forme, et ne donne nullement un équivalent informe de l'informe. Cela aboutit à un réalisme aussi esthétique que facile à digérer, dont la devise pourrait être : la liberté, ma discipline. Li¬berté d'une recherche difficile à cerner. Prétendre trouver est à soi seul une assurance de ne jamais avoir la clé, là où le peintre veut entrer. Mais, vouloir y pénétrer est une assurance de n'y pénétrer jamais. L'acte de peindre se confond avec l'espoir d'être en rendant le plongeon vers l'inconnu moins ris¬qué. Il y a surtout le fait de pouvoir dire demain. Raconter son intériorité, sans jamais prétendre détenir autre chose que le désir de se raconter. Prendre conscience de ce long chemin sans fin pour cet employé des chemins verts. Notre Alfonso Marchica est un préposé des «Chemins Verts», devenu fidèle, sans concession, des Dieux de la Pein¬ture. Fidèle à une passion dont on ne guérit jamais !
En pénétrant dans les salles, on pense être en avion. On survole les tableaux. On les imagine ciel et nua¬ges. Ces nuages se dessinent si bien, tels des précurseurs. On abandonne son avion. On marche alors sur la terre et tout à coup on rencontre des trous, des précipices peut-être, au bout desquels on aperçoit des lointains sombres ou lumineux selon que la palette s'est voulue claire ou foncée. On peut aussi considérer le fond comme un mur et les taches riches en matière tra¬vaillée comme des fenêtres par lesquelles on voit un paysage. Ces envois n'ont pas de titre. «Sans titre» et posent la question. En insis¬tant, on l'obtient pour cha¬que détail. Et l'on peut com¬biner tous ces mouvements, supposer les uns rapides, les autres lents, de manière à avoir l'impression d'une agitation écrite sur la surface. L'explication tient en peu de mots. Ces mouve¬ments sont abstraits mais n'excluent surtout pas un certain lyrisme ou la ma¬nière de travailler les noirs. Ces zones qui tendent à se dissoudre, à fuir, ressem¬blent à un parcours vécu comme une aventure inté¬rieure. Sans flirter avec la maturité de l'artiste, appelé plus haut et plus loin, Marchica peut atteindre les étapes qui le conduiront du linéaire à la maîtrise de la rétractabilité. Epreuve, en donnant à ce mot la même valeur, le même sens qu'épreuve d'initiation sur ce chemin de la longue quête d'une vérité première. Avec le temps...
Oeuvres sur toile, sur papier, marouflées sur bois. Encres et dessins. 1993 - 2006. Mesures. Petits jalons du voyage. Etincelles. Etincelles et traits endormis dans un fond de ciel qui ne dort pas. Le temps d'un lieu, d'une lumière brute ou rayonnante. Où, mieux encore la lumière monte et descend entre le feu et le noir bleu avec la lenteur des voiles de navire. Ce qui apparaît disparaît. Explique à l'oeil qui veut voir cette recherche des couleurs, cris de l'ombre. Au commencement. Et après... Ce travail de quinze années de recherche présenté à Pujols explique la démarche discrète de Marchica, récemment exposé au Musée Ingres dans le cadre des Rencontres d'Art. Un Marchica que l'on voyait travailler à l'air libre dans les rues du vieux village qui domine la ville et la vallée. Aujourd'hui, il est dans un local de trois niveaux ouvert sur la place du marché et un paysage que l'on aime caresser avec ses yeux. Comme les oeuvres ici montrées.
René Verdier Juin 2006
Alfonso Marchica n'a jamais appris la peinture. Rien d'ailleurs ne l'y préparait elle lui est tombée dessus, si l'on peut dire, sans qu'il n'y prenne garde. Un peu comme ce fut le cas pour Augustin Lesage qui entendit une voix lui dire: "Tu seras peintre."
Marchica est né à Porto Empédocle en Sicile en 1956, il arrive en France deux ans plus tard. Après sa période scolaire il est d'abord cuisinier, puis à partir de 1989, à la suite de problèmes de santé il effectue occasionnellement plusieurs emplois.
Actuellement il travaille comme cantonnier des chemins pédestres et forestiers à la demande du Conseil Général du Lot et Garonne pour entretenir les "Chemins Verts" du département où il réside. Evidemment cet itinéraire n'explique pas comment il est venu à la peinture. Certes il y a 18 ans il réalisait de petits paysages d'après nature, et puis, il y a 10 ans ce fut le grand saut, l'éblouissement perçu comme une sorte de thérapie, d'exutoire. Cette jubilation picturale coïncida avec la découverte de la foi; la spiritualité l'a-t-elle conduit à cette métamorphose? Grâce à la spiritualité Alfonso se fait créateur au sens le plus noble du terme et cette passion le dévore.
Mais je préfère lui céder la parole, car dans une récente lettre qu'il m'a adressée, il s'en explique remarquablement bien:
"Pourquoi je peins? A 18 ans je me dis que j'ai la chance de découvrir la peinture, car rien n'était fait dans ma vie pour que ça arrive.
Je me suis tout simplement rendu compte que lorsque j'avais fini une peinture cela me faisait du bien, et petit à petit la peinture a pris sa place dans ma vie. Et cette souffrance que j'éprouvais depuis l'enfance a commencé à s'apaiser, le vide que je ressentais dans ma vie a été comblé. Et puis il y a eu surtout la rencontre avec la foi.
La peinture n'est pas pour moi une finalité, mais un moyen qui me donne accès à ma vie intérieure. D'ailleurs je ne me sens que l'outil de quelque chose qui me dépasse. Et lorsque la toile se fait, il y a un dialogue qui s'installe entre elle et moi, et c'est elle qui me dirige.
L'espace pictural que je recherché est dirigé par une lumière qui flotte au dessus de la toile, et cette lumière peut s'intensifier ou disparaître complètement. Mais lorsque j'écoute la toile attentivement, elle me dit ce que je dois faire, et tant que je vois cette lumière je continue à peindre;" Comme on le voit sa démarche est proche de celle du mineur Lesage qui suivait ses "guides". Mais venons-en à ces oeuvres picturales qui telles un sismographe témoignent d'une transcription, que l'on pourrait sans doute qualifier d'expressionnisme abstrait, traduisant les états d'âme de l'artiste.
La contemplation souvent laisse transparaître la rage de peindre et Marchica triture la pâte, pose les couleurs sans repentir semble-t-il en une jubilante bataille de couleurs ponctuées de signes. Je ne crois pas que l'artiste se pose de questions quant à l'organisation de la toile ou la construction du tableau.... Comme il le dit si bien il écoute la respiration du tableau et il en est heureux Bienheureux ceux qui savent vivre et s'enrichir de leurs oeuvres en dépit des tourments clandestins qui habitent tout créateur.
Paul DUCHEIN, Décembre 2006
Horizons, soleils et noirs
Ce travail, explique Marchica Alfonso, vise à restituer la forme de l'informe, la forme de notre vie qui n'a pas de forme, et ne donne nullement un équivalent informe de l'informe. Cela aboutit à un réalisme aussi esthétique que facile à digérer, dont la devise pourrait être : la liberté, ma discipline. Li¬berté d'une recherche difficile à cerner. Prétendre trouver est à soi seul une assurance de ne jamais avoir la clé, là où le peintre veut entrer. Mais, vouloir y pénétrer est une assurance de n'y pénétrer jamais. L'acte de peindre se confond avec l'espoir d'être en rendant le plongeon vers l'inconnu moins ris¬qué. Il y a surtout le fait de pouvoir dire demain. Raconter son intériorité, sans jamais prétendre détenir autre chose que le désir de se raconter. Prendre conscience de ce long chemin sans fin pour cet employé des chemins verts. Notre Alfonso Marchica est un préposé des «Chemins Verts», devenu fidèle, sans concession, des Dieux de la Pein¬ture. Fidèle à une passion dont on ne guérit jamais !
En pénétrant dans les salles, on pense être en avion. On survole les tableaux. On les imagine ciel et nua¬ges. Ces nuages se dessinent si bien, tels des précurseurs. On abandonne son avion. On marche alors sur la terre et tout à coup on rencontre des trous, des précipices peut-être, au bout desquels on aperçoit des lointains sombres ou lumineux selon que la palette s'est voulue claire ou foncée. On peut aussi considérer le fond comme un mur et les taches riches en matière tra¬vaillée comme des fenêtres par lesquelles on voit un paysage. Ces envois n'ont pas de titre. «Sans titre» et posent la question. En insis¬tant, on l'obtient pour cha¬que détail. Et l'on peut com¬biner tous ces mouvements, supposer les uns rapides, les autres lents, de manière à avoir l'impression d'une agitation écrite sur la surface. L'explication tient en peu de mots. Ces mouve¬ments sont abstraits mais n'excluent surtout pas un certain lyrisme ou la ma¬nière de travailler les noirs. Ces zones qui tendent à se dissoudre, à fuir, ressem¬blent à un parcours vécu comme une aventure inté¬rieure. Sans flirter avec la maturité de l'artiste, appelé plus haut et plus loin, Marchica peut atteindre les étapes qui le conduiront du linéaire à la maîtrise de la rétractabilité. Epreuve, en donnant à ce mot la même valeur, le même sens qu'épreuve d'initiation sur ce chemin de la longue quête d'une vérité première. Avec le temps...
Oeuvres sur toile, sur papier, marouflées sur bois. Encres et dessins. 1993 - 2006. Mesures. Petits jalons du voyage. Etincelles. Etincelles et traits endormis dans un fond de ciel qui ne dort pas. Le temps d'un lieu, d'une lumière brute ou rayonnante. Où, mieux encore la lumière monte et descend entre le feu et le noir bleu avec la lenteur des voiles de navire. Ce qui apparaît disparaît. Explique à l'oeil qui veut voir cette recherche des couleurs, cris de l'ombre. Au commencement. Et après... Ce travail de quinze années de recherche présenté à Pujols explique la démarche discrète de Marchica, récemment exposé au Musée Ingres dans le cadre des Rencontres d'Art. Un Marchica que l'on voyait travailler à l'air libre dans les rues du vieux village qui domine la ville et la vallée. Aujourd'hui, il est dans un local de trois niveaux ouvert sur la place du marché et un paysage que l'on aime caresser avec ses yeux. Comme les oeuvres ici montrées.
René Verdier Juin 2006
Né le 22 août 1956 à Porto Empedocle (Sicile),
Peint depuis 1989.
- 1ère exposition de groupe : Le moi et son double', musée Ingres à Montauban, du 10 mars au 14 mai 2006. Critique de Madame Lydia Harambourg.
- 1ère exposition personnelle, Juin 2006 à Pujols (Lot et Garonne). Critique de Monsieur René Verdier, journaliste et collectionneur (voir article joint).
Je me suis mis à peindre en 1989. Ce fut d'abord une thérapie. Depuis une dizaine d'années, je m'y consacre.
La peinture n'est pas pour moi une finalité, mais un moyen qui me donne accès à ma vie intérieure.
Mon travail a la faiblesse de donner l'impression de ne pas avoir de continuité, mais à y regarder de plus près, il y a toujours cet espace vital qui vient de la nécessité. A partir de cette énergie, les formes apparaissent, souvent différentes. Parfois, quelques unes d'entre elles se suivent.
Je ne peux expliquer l'inexplicable. L'inexplicable ne peut être que vécu'
Peint depuis 1989.
- 1ère exposition de groupe : Le moi et son double', musée Ingres à Montauban, du 10 mars au 14 mai 2006. Critique de Madame Lydia Harambourg.
- 1ère exposition personnelle, Juin 2006 à Pujols (Lot et Garonne). Critique de Monsieur René Verdier, journaliste et collectionneur (voir article joint).
Je me suis mis à peindre en 1989. Ce fut d'abord une thérapie. Depuis une dizaine d'années, je m'y consacre.
La peinture n'est pas pour moi une finalité, mais un moyen qui me donne accès à ma vie intérieure.
Mon travail a la faiblesse de donner l'impression de ne pas avoir de continuité, mais à y regarder de plus près, il y a toujours cet espace vital qui vient de la nécessité. A partir de cette énergie, les formes apparaissent, souvent différentes. Parfois, quelques unes d'entre elles se suivent.
Je ne peux expliquer l'inexplicable. L'inexplicable ne peut être que vécu'
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- DE MONPEZAT Vincent
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